| Abattoir, m., lieu où l'on abat, écorche et dépouille les divers animaux destinés à l'alimentation des boucheries, das Schlachthaus, ein zum Schlachten des Viehes bestimmtes Gebäude.
Abcés, m., tumeur inflammatoire qui se termine par la suppuration, das Geschwür, die Euterbeule. — Lat. abscessus; engl. abcess.[S. 12]
Aberzoihl, f. (abermals erzählen), die allzulange Erzählung, die Litanei, der Wortkram, la kyrielle, le verbiage, le dénombrement ennuyeux de plaintes ou le citations.
A'bestoiden, part. a'bestoidt, einen Sohn, eine Tochter durch Heirath in das väterliche Haus einsetzen, établir un fils, une fille, par mariage dans la maison paternelle.
A'bièren, part. a'gebierdt, einfassen, beborden, garnir.
A'bilen (sech), part. a'gebildt, sich einbilden, s'imaginer. — Mer as kees esó glöklech, nach esó onglöklech, wé mer sech et a'bildt; on n'est jamais si heureux, ni si malheureux qu'on se l'imagine.
A'bileng, f., die Einbildung, l'imagination, f. Se vergréssert ons Freed, ewé onst Leed. Ainsi que nos plaisirs, elle accroît nos douleurs.
Ab-irato (action dictée par la colère), im Zorn, in der ersten Aufwallung verfaßt, geschrieben.
Ablek, pl. -er, m., der Augenblick, le clin d'œil. An engem Ablek, en un rien, en un instant.
Abler (géo.), Abweiler, Dorf in der Gemeinde Bettemburg.
A'bôken, part. a'gebôkt, einhüllen, einwickeln, einmummen, emmitoufler.
Abonnement, m., convention par laquelle on s'engage à fournir ou à prendre une chose à prix réglé, die Unterzeichnung, Vorbestellung, Vorauszahlung.
Abonnement suspendu, aufgehobenes oder ungültiges Abonnement.
Abonnéren (sech), s'abonner, sich eindingen, unterzeichnen, sich abonniren.
Abrel, m., der April, le mois d'avril. — Celt. ebrel; mittelalt. abrelle.
Abrelsgèck (éschten), m., der Aprilnarr, der sich am ersten April anführen läßt, la dupe du premier avril, qui a eu un poisson d'avril; holl. aprilsgek. — Der noch jetzt nicht untergegangene Scherz des Aprilschickens wird gewöhnlich als eine Nachahmung des spottvollen Hin= und Herschickens Christi von Hannas zu Kaiphas, von Pilatus zu Herodes angesehen, weil im Mittelalter am Osterfeste, welches für gewöhnlich in den April fällt, auch diese Scene aufgeführt wurde, möchte aber wohl eher der Rest eines alten heidnischen Festes sein. (Convers.=Lexicon.)
Abricot, m., die Aprikose; celt. abricoden, von abred, frühzeitig. — Die Lateiner nannten die Aprikosen frühzeitige Aepfel, mala præcoqua. Holl. abrikoos; engl. abricot. — Le père Labbe, dans ses étymologies des mots français, dit que les abricots ont été ainsi nommés, parce qu'il faut élever les abricotiers à l'abri du mauvais vent, contre quelques murailles exposées au soleil du midi — apricus, ital. aprìco.
Abrico'spraum, pl. -en, die Aprikosenpflaume, la prune d'abricot.
Abrico'ssteen, pl. -stèng, m., der Aprikosenstein, le noyau d'abricot.
A'broch, pl. Abröch, m., der Einbruch, l'efraction, f. (pour voler.)[S. 13]
Abrutissement, m., der viehische Zustand, die Herabwürdigung zum Vieh.
Absens, besonders, particulièrement. — Gaunersp. abseits.
Acajou, m., das Magahoniholz, Acajouholz, vom Brasilianischen acajaiba.
A'canaljéren (sech), sich mit schlechten Leuten einlassen, sich wegwerfen, s'encanailler.
Accès, m. (méd.) Mouvement et durée de la fièvre ou d'une maladie périodique, der Anfall, Anstoß, Schauer einer Krankheit. — Lat. Accessio; engl. access; ital. accesso.
Accident, m. (accidere). Tout événement fâcheux et fortuit, der Zufall, Unfall, das Ereigniß. Quand on se brûle au feu que soi-même on attise, Ce n'est point accident, mais c'est une sottise. (Regnier.) Accidents de terrain, certains mouvements du sol, élévations ou abaissements de terrain, dont on peut tirer partie, soit pour l'utilité, soit pour l'agrément, die Abwechslung, Unebenheit des Bodens, der Flächen. | |