| Caduc (lat. caducus, von cadere, fallen), hinfällig, alterschwach, gebrechlich. — Engl. caduque; ital. caduco.
Caducée, m., verge que Mercure reçut d'Apollon, et par suite, bâton de héraut d'armes, der geflügelte Schlangenstab des Merkur; der Heroldsstab. — Lat. caduceus.
Cafard, m., der Scheinheilige, Heuchler. — Vergl. celt. can, Wort, Rede, und fardd, geschminkt. — Hebr. caphar, verbergen, verstecken.
Cafetière, f., der Kaffeetopf, die Kaffeekanne. — Ital. caffettiera.
Cahier, m., das Heft von mehrern Bogen, das Merkbüchlein (assemblage de plusieurs feuillets de papier, blanc ou écrit, pliés ensemble et attachés légèrement, tels que ceux dont on se sert dans le cours des études).
Cahier des charges, m., conditions d'un marché, das Bedingungsheft, die Bedingungen eines Kaufs.
Caisse d'amortissement, f., die Amortisationskasse, die Schuldtilgungskasse.
Caisse d'escompte, f., die Vorschußanstalt für den Staat, die Vorschußkasse für Staatspapiere.
Caissier, m., der Cassirer. — Engl. cashier; holl. kassier; ital. cassiere.
Caisson, m., der Kastenwagen, Artilleriewagen, Munitionswagen, Rüstwagen.
Calebasse, f., 1° die Kürbisflasche; 2° der Flaschenkürbis. — Kil. Calebasse; holl. kalebas.
Caleçon, m., die Unterhosen, Unterziehbeinkleider. — Ital. sottocalzòni; span. calzoncillos.
Calembour, m. (calamo burlare, mit der Feder spielen, scherzen), das Wortspiel, Namenspiel, eine Art Wortwitz, der, abgesehen von der Zweideutigkeit des Wortes selbst, hauptsächlich darin besteht, daß man irgend einem Worte ein zwar dem Klange nach gleiches, hinsichtlich des Sinnes aber ganz verschiedenes Wort unterschiebt, z. B. Ein Räuber forderte einem Reisenden die Börse ab mit den Worten: la bourse ou la vie. »Pour l'avis (la vie),« erwiederte dieser, »le meilleur que je puisse vous donner, est de quitter votre métier, sans quoi vous serez pendu, et pour la bourse (Haarbeutel), je n'en ai pas, parce que je porte un catogan (Haarknoten).« — Jn der deutschen Sprache kennt man die Calembours wenig, weil diese Sprache, ihres[S. 70] Reichthums wegen, sich wenig dazu eignet. Den Deutschen fehlt es nicht ganz daran, z. B. »der Kaffee hat es bequemer als der Thee, denn er kann sich setzen, während dieser ziehen muß.« — Den Namen haben die Calembours von einem Grafen Calemberg aus Westphalen erhalten, der unter Ludwig XV. in Paris lebte, und so schlecht französisch sprach, daß stets die lächerlichsten Verwechselungen zum Vorschein kamen. Nach Andern soll diese Wortwitzgattung einem Apotheker Calembourg in Paris ihren Namen verdanken.
Calembouriste, m. Il se dit de celui qui a la manie des calembourgs, der Wortspieler.
Calepin, m., das Geschäftsverzeichniß, Notizbüchelchen, der Gedenkzettel, das Merkbüchlein. — Calepin, ou plutôt Calepino, ou Da Calepio (Ambroise, d'autres disent Antoine), religieux augustin de la fin du XV sîècle, ainsi appelé du bourg de Calepio, dans la province de Bergame, en Italie, où il naquit en 1435, et qui appartenait à l'ancienne famille des comtes de Calepio, dont il était issu, est célèbre dans les lettres par la publication de son Dictionnaire des langues latine, italienne, etc., plus connu, d'après lui, sous le nom de Calepin, imprimé pour la première fois à Reggio, en 1502. — Le nom de Calepin est passé dans la langue pour désigner un dictionnaire ou plutôt un recueil de notes et d'extraits.
Caliber, m. (serr.), das Korn, die Lehre, ein Maaß, mit welchem der Schlosser die Stärke von eisernen Stäben zu Gittern, Rahmen u. s. w. bestimmt, la ligne, le calibre.
Calomel, m., muriate de mercure doux, das versüßte Quecksilber.
Calorifère, m., grand poêle qui porte la chaleur dans plusieurs parties d'une maison, der Wärmeleiter.
Calotin, terme injurieux par lequel les gens mal élevés désignent quelquefois les ecclésiastiques et les partisans des prêtres; 1° der Pfaff; 2° der Pfaffennarr.
Calotte, f., die Plattmütze, Priestermütze, das Scheitelkäppchen. — Celt. calott; engl. calot; holl. kalot. — Vergl. lat. galea; ital. celata, Pickelhaube.
Calotte, f. (anat.), la partie supérieure du crâne, die Flechsenhaube.
Calotte, f. (horl.), couvercle ajusté sur le mouvement d'une montre, der Deckel über der Unruhe, auch über dem gesammten Triebwerk einer Taschenuhr, die Springkapsel. — Ital. calotta.
Calquoir, m., châssis vitré sur lequel on applique le dessin pour calquer, der Glasrahmen.
Camé für camus, verblüfft, beschämt, verlegen.
Camisole de force, f., vêtement qui rassemble assez bien à un gilet à manches, excepté qu'il se ferme par derrière et que les manches sont réunies et sans ouverture. On s'en sert pour contenir les maniaques et les fiévreux qui sont attaqués d'un délire violent, die Zwangsjacke.[S. 71]
Camp-volant, m., détachement du camp occupé à voltiger sans cesse pour harceler l'ennemi, das fliegende Lager oder Heer. — Engl. a flying camp. | |