| Frimaire, m., der Reifmonat (21 November — 20 Dezember) der 3. Monat im neufränk. Calender. — Vergl. fremo, fremere, frissonner.
Frimousse, f., die Miene, das Maul (wird nur in der niedrigen Sprechart gebraucht). — Vergl. altfranz. mouse, gueule.
Fripier, m., marchand et ouvrier qui fait profession d'acheter, de vendre et de raccommoder de vieux meubles et de vieux habits, der Trödler. — Engl. fripperer. — Vergl. celt. frepadh, gâter, corrompre; lat. frepatæ vestes, habits troués, usés, fripés.
Fripon, m., der Schelm, Spitzbube. — Celt. fripon, von fripein, erwischen, wegstibizen.
Friponnerie, f., die Spitzbüberei. — Celt. friponnereh.
Frippen, part. gefrippt, (gemein) essen, friper, manger avec aviditè. — Celt. frippal.[S. 161]
Frisson, m., der Schauer. — Vergl. frigio, frigus; φρίσσειν, frémir. — Le frisson, dit Baudry de Balzac, est une action physiologique qui a lieu chez l'homme et chez quelques animaux, sans l'influence de la volonté, et qui paraît tout-à-fait sympathique. Il consiste dans un frémissement comme convulsif de la peau, accompagné d'un sentiment de froid: il est plus ou moins général, et plus ou moins fort et durable.
Fro, pl. -en, f., die Frage, la question, la demande. — Wât èng Fro as dât; holl. wat vraag is dat; belle demande? Sen oder net sen, dât as 't Fro, sein oder nicht sein, das ist die Frage.
Froën, part. gefrot, fragen, demander, questionner. Prés. ech froën, du frees, e' freet, mir froën, dir frot, sie froën. — Mat froë' vermecht e' neischt, on ne risque rien de demander.
Front (franz.), m., die Frechheit, Unverschämtheit, Dreistigkeit. — Do muss Een e' Front hoin, il faut avoir du front.
Fronz, pl. -en, f., das Gefältel, la fronce, le froncis. Petits plis que l'on fait à une étoffe pour la froncer. Un froncis se compose de fronces. — Engl. frounce (frauns); Kil. Fronsse. — Vergl. holl. frons, Runzel, Falte; lat. frons, Stirn, wo sich die Falten bilden.
Fronzen, part. gefronzt (cout.), fälteln, einziehen, froncer, former avec le pouce et l'aiguille une suite de petits plis bien égaux entre eux, qu'on serre et qu'on rapproche en tirant le fil plus ou moins. — Holl. fronsen; engl. frounce; span. fruncir.
Frôs, Frôspanz, pl. -pänz, f., der Fresser, Freßwanst, le glouton, goinfre.
Fructidor, m., der Fruchtmonat, Obstmonat (18. August — 16. September).
Fûcht, f., das lärmende Vergnügen, le plaisir bruyant. — Obd. die heftige Bewegung, der Streit.
Fudel, pl. -en, f., 1° die Fetze, der Lumpen, la guenille, le lambeau; 2° das liederliche Weibsbild, die Vettel, Schlampe, la guenippe, coureuse. — Holl. vodde.
Fudeleg, lumpig, schluderig, salope, malpropre. — Ndd. fuddig; holl. voddig.
Fumigatoire (boîte), f. (qui contient les objets nécessaires pour secourir, au moyen de fumigations, les noyés et les asphyxiés), die Räucherbüchse.
Fumiste, m. (qui s'occupe de l'art d'empêcher les cheminées de fumer), der Rauchfangverbesserer.
Fummel, pl. -en, f. (Gassenwort), die Schummel, liederliche, unzüchtige Weibsperson, la femme de mauvaise vie. — Ndd. Fummel.
Fuppen, part. gefuppt (Schallwort), in der gemeinen Sprechart: schlagen, hauen, frapper, battre.
Fur, pl. -en, f., die Furche, le sillon, rayon. — Ahd. furhi; ags. fur; ndd. Fuhre, Fore; holl. voor; engl. vòor (wuhr).
Fur, pl, -en, f. (meun.), der Hauschlag, le rayon.[S. 162]
Fusain, m., crayon fait de charbon de fusain, die Spindelbaumkohle.
Fûse'lach, pl. -læcher, n., das Rauchloch, ein Gemach, von welchem man verächtlich spricht, welches mit Rauch angefüllt zu sein pflegt, le boucan.
Fûsen (sech), im gemeinen Leben: sich aus dem Staube machen, entlaufen, s'esquiver, lever le pied. | |