| Housse, f., der Ueberzug. — Mittellat. housia; obd. die Husse, das Husset. — Les Languedociens et les Gascons disent horse, ce qui pourrait donner sujet de croire que le mot de housse auroit été fait d'ursa. Les anciens se servoient de peau d'ours pour se couvrir. (Ménage.)
Hublang, pl. -en, f., der Wintermantel, la houppelande. — Celt. hopelanda; mittelalt. houbelachen, von houben, bedecken, und lach, lacken, Tuch; mittellat. hoppelanda, houppetanda. Item legat . . . . . unam suam hoppelandam rubeam martris foderatam (charta ann. 1406). — M. Huet croit que cette sorte de casaque vient d'Uplande, province de Suède. Un jeune hermite était tenu pour saint, Mais sous sa houppelande, Logeait le cœur d'un dangereux paillard. (La Font.)
Hudel a' Fatzen, der Fetzen, le lambeau. — Mittelalt. hudel.
Huffâs, m. (maré.), der Beschlagkasten, la ferrière, coffret où l'on met tout ce qui est nécessaire pour ferrer un cheval.
Huilier, m., espèce de vase destiné à contenir les burettes où l'on met l'huile et le vinaigre qu'on sert sur la table, das Oel= und Essiggefäß.
Huis (à) clos, à portes fermées et sans que le public soit admis, bei verschlossenen Thüren. — Lat. clausis foribus.
Huit de chiffre, m. (horl.), der Achter, Achterzirkel.
Hulètt, pl. -en, f., ein altes baufälliges Haus, une masure, une maisonnette qui menace ruine,
Humeur, f., 1° die (gewöhnlich verdorbene) Feuchtigkeit; 2° die Gemüthsfassung, Laune, Stimmung. — Engl. humour; ital. umore. — En as de mauvaise humeur. — Il y a cela de particulier dans la mauvaise[S. 214] humeur des femmes, qu'il faut nécessairement qu'elle ait son cours; les meilleurs arguments, les raisons les plus évidentes, les preuves les plus convaincantes ne font à ce cours que ce que les cailloux font au cours d'un ruisseau : le ruisseau murmure plus fort et continue son chemin. (Les Guêpes.)
Huneg, m., der Honig, le miel. — Angels. hunig; ndd. Hung.
Hunegbir, pl. -en, f. (jard.), die Honigbirne, eine Art sehr süßer Birnen, le sucre-vert.
Hunegdâ, m., der Honigthau, süßer klebriger Saft, ein schädlicher Schweiß auf Pflanzenblättern, den man sonst für einen Thau aus den Wolken hielt, le miélat, la miellure.
Hunegfrächen, pl. -frächercher, f., die Ahnfrau, Urgroßmutter, la bisaïeule.
Hunegheerchen, pl. -heercher, m., der Ahnherr, Urgroßvater, le bisaïeul.
Hunn, m. (écon.), das Schnittermahl, der Schmaus, der den Schnittern nach der Ernte gegeben wird, le repas des moissonneurs.
Hunegplôschter, f. (maréch.), das Honigpflaster (Honigumschlag um ein Geschwulst), l'emmiellure, f. Cataplasme pour les enflures, les foulures des chevaux.
Hunegschmièr, pl. -en, f., die Honigschnitte, das mit Honig bestrichene Brod, la tartine de miel.
Hupp, pl. -en, f., der Haarbüschel, die Straube, das über der Stirn geflissentlich aufgesträubte Haar, le toupet.
Huppen, part. gehuppt, niederhocken, niederkauern, eine geduckte Stellung nehmen, s'accroupir. — Holl. hurken. — Op den Huppe' setzen, mit dem Hintern auf den Fersen sitzen, être assis sur les talons, à croupetons; holl. op de hurken zitten.
Hurléburlé, m., der Wildfang, der unbedachtsame Mensch, l'étourdi, le hurluberlu. — Vergl. engl. hurly-burly, Wirrwar, Tumult.
Hutt, pl. Hitt, m. (arch.), die Kappe, obere Bedeckung des Pfeilers, le bonnet.
Huttkopp, pl. -en, f., der Kopf (am Hute), das Hohle am Hute wo der Kopf hineingeht, le cul ou la forme du chapeau.
Hutzel (èng âl), pl. -en, f., ein altes, zusammengeschrumpftes Frauenzimmer von niedrigem Stande, une vieille ridée. — Vergl. huzeln, zusammenschrumpfen.
Huwel, pl. Hiwel, m., der Hobel, le rabot. — Nds. Hovel.
Huwelen, part. gehuwelt, hobeln, raboter. — Nds. hövelen. — Iwer Hiren huwelen, über Hirn hobeln.
Huvellach, pl. -lächer, n., das Maul, die Oeffnung in einem Hobel, durch welche das Hobeleisen gesteckt wird, la lumière. | |