| Paysage, m., tableau qui représente un paysagé. die Landschaft, das Gemälde einer Gegend. — Le paysage embrasse la représentation des terrains, des montagnes, des rochers, des arbres, des lacs, des rivières, en un mot de tout ce que peut présenter l'aspect d'un pays. Le terrain, les aspects, les eaux et les ombrages Donnent le mouvement, la vie aux paysages. (Del.)
Pèch. — Et as Pèch (gemein), es ist nichts an der Sache, cela ne vaut rien. — Vergl. Gaunerspr. Pech, das Unglück, widrige Verhängniß.
Peerd, pl. id., das Pferd, le cheval. — Angels. paard; ahd. perd, von beran, peran, bären, tragen, erzeugen, das Erzeugte; nds., holl. peerd. Quadrupedante putrem sonitu quatit ungula campum. (Virg.) — Prov. Se reide' net op èngem Peerd, sie vertragen sich nicht gut mit einander, leurs chiens ne chassent pas ensemble. — C'était dans une coupe d'or que Caligula présentait à boire à son cheval qu'il admettait au nombre de ses convives.
Peerd, pl. id., der Abläufer (beim Haspeln), le fil dérangé, hors de sa place.
Peerdsbièr, n. (bot.), die Roßbeere, die gemeine, blaue Heidelbeere, die Brombeere, la mûre de renard.
Peerdsbir, pl. -en, f., die Augustbirne (groß und saftig, doch voller Steine), le hativeau.
Peerdskröcher, pl. id., m., der Roßkäfer, le fouille-merde.
Peerdsnoss, pl. -nöss, f., die Pferdenuß, die größte Art Wallnüsse.
Peerdstrâp, pl. -en, f., die Trappe, Roßtrappe, Hufspur, la trace d'un cheval.[S. 336]
Peerdzen, part. gepeerdzt, pferdeln, sentir le cheval.
Pèfferkièr, pl. -en, m., das Pfefferkorn, le grain de poivre.
Pèfferkièrchen, pl. -kièrcher, das Pfefferkörnchen, le petit grain de poivre. — E' muss bei alles sei Pèfferkièrchen dun, er hat an allem etwas zu bemerken, auszusetzen, an allem Ausstellungen zu machen, il trouve à redire à tout ce qu'on fait.
Peif, pl. -en, f., 1° die Pfeiffe, le sifflet, la pipe; 2° die Ofenröhre, les tuyaux, buses de fourneau. — 't Peife' krekelen, die Ofenröhren knistern, les buses craquetent. — E' Schong Peifen, ein Fuß Ofenröhre, un pied de tuyaux de fourneau. — Op èngem Fäsche' Polfer hoit de' Jean Bart seng Peif oi'gefângen, Jean Bart allumait sa pipe assis sur un baril rempli de poudre à canon.
Peife'neijoeschdag (op), auf den Nimmertag, morgen früh, beim grünen Thee, aux calendes grecques, la semaine des trois jeudis; engl. when the devil is blind; ital. ai trentadue del mese.
Peife'schlössel mat ènger Klapp, m. (serr.), die Rauchklappe, eine in der Ofenröhre angebrachte Klappe, um die Verbindung der Luft im Jnnern des Ofens mit der Luft im Schornstein aufzuheben und dadurch die Wärme im Ofen zurück zu halten, la clef à soupape dans le tuyau de fourneau.
Peil, pl. -en, m., der Pilaster, viereckige Pfeiler, le pilier. — Lat. pila; span. pilar; engl. pile (peil); nds. Piler.
Peinapel, pl. -en, m., der Flügelknopf, Knopf am Wetterhahn, la pomme de girouette. — On les met au haut des fers des girouetttes pour les empêcher de sortir de leur place. — Celt. pinnagel, faîte, pinacle, de pen, pin, cîme, sommet.
Peinètsch, m., der Spinath, Binetsch, Pinetsch, les épinards. — Engl. spinage; nds. Spinasie. — Beaucoup de botanistes croient que cette plante nous est venue d'Espagne; aussi quelques auteurs l'ont nommée hispanicum olus.
Peipleng, pl. -en, m., der Schmetterling, Sonnenvogel, le papillon. — Lat. papilio; ital. papilione; Kil. Pepel; Pepelink, homuncio tenellus, imbecillis; nullum enim animal inter vermiculos alatos papilione imbecillius; provinz. Feifalter; angels. falde; ital. farfàlla.
Pékel, pl. -en, m. (jard.), das Sètzholz, Pflanzholz, le plantoir.
Pékin, m. Terme que les militaires employaient entre eux, surtout sous l'empire français, pour désigner ceux qui ne portent pas les armes. — Le général D........ parlait avec chaleur dans un cercle. où se trouvait M. de Talleyrand, de diverses personnes qu'il qualifiait de pékins. — S'il vous plaît, général, lui dit le prince, qu'appelez-vous pékins? — Nous autres, répond le général, nous appelons pékin tout ce qui n'est pas militaire. — Ah! fort bien! répond M. de Talleyrand, tout comme nous, nous appelons militaire tout ce qui n'est pas civil.
Pélchen, pl. Pélercher, m., das Pfählchen, das Pflöckchen, le petit pieu. — Om Pélche' sen, auf dem Sprunge stehen, nahe daran sein, être sur le point de, près de; holl. op het tipje staan. Op de' lèschte' Pélchen, auf den letzten Augenblick, à l'extrémité.[S. 337]
Pêle-mêle, kunterbunt, durcheinander. — Engl. pell-mell.
Pélen, part. gepélt, oi'pélen, anpfählen, attacher avec des chevilles.
Pell (Pöll), f., die Pille, la pilule. — Holl. pil; engl. pill. — Èng batter Pell, eine harte Pille, une pilule amère, un dur morceau à digérer. — Gaunersp. Pille, die fallende Sucht.
Pelle au cul kréen (niedrig), fortgejagt werden, être chassé. | |