| Porte-manteau, m., 1° der Mantelsack; 2° das Mantelholz; 3° der Kleiderrechen. Valise de cuir ou d'étoffe; morceau de bois attaché à la muraille où l'on suspend des habits. — Engl. port-mantle; ital. portamantello; span. portamanteo. Tous mes habits sont sur ma peau, Et je suis mon porte-manteau.
Porte-manteau, m. (anc. cout.), officier qui portait la queue du manteau de la reine.
Porte-monnaie, m., die Münztasche, die Geldtasche.
Porte-montre, m., das Taschenuhrgehäuse, =kißchen.
Porte-mouchettes, m. der Lichtputzteller, die Lichtputzenschale. — Ital. Portamocchette.
Porte-voix, m., das Sprachrohr, ein Rohr zum Sprechen in die Ferne. — Les porte-voix ou trompettes parlantes (engl. speakingtrumpes), comme on les a d'abord appelés, ont été découverts en 1671.
Portier, m., der Pförtner, Thürhüter. — Celt. porzier; engl. porter; span. portero, s. Piärtner.
Portière, f., der Kutschenschlag. — Ital. portiera. — Èng Kutsch à[S. 354] trente-six portières, carrosse à trente-six portières, s'est dit, par plaisanterie, d'une charrette.
Pós, pl. Pés, m., das Geläut für einen Todten, le glas funèbre, son de cloche pour les morts. — Altfranz. poulsée; span. posas. — Glas, se dit aussi des salves d'artillerie que l'on tire aux funérailles d'un souverain ou d'un militaire élevé en grade.
Pós, m., die Weile, Pause, Ruhe, la pause, quelque temps, espace de temps. — Holl. poos.
Poséert, posé, rassis, grave, gesetzt, ernst, ruhig.
Póschwanz, pl. -schwänz, m., die Pfauentaube, der Hühnerschwanz, le pigeon-paon (pan).
Postelérén, part. posteléert, hin und her laufen, courir ça et là (à la manière d'un postulant). — Obd. posten.
Poste-restante, auf der Post zurückbleibend, zur Postverwahrung, zum Abholen.
Postiche, se dit d'un homme qui tient momentanément la place d'un autre, caporal postiche, Stellvertreter eines Corporals.
Postuléren, part. postuléert, ansuchen, anhalten (um ein Amt), postuler. — Lat. postulare.
Pót, pl. -en, f., das Knippschen, Pfötchen, in den niedern Schulen eine Art Strafe, da die Finger der Hand mit den Spitzen zusammengelegt und hingehalten werden müssen um mit einem Stöckchen oder Lineal Schläge darauf zu empfangen, le coup de férule, la férule. — Èng Pót mâchen, die Finger der Hand mit den Spitzen zusammenlegen, faire le cul de poule, joindre le pouce et les doigts de la main ensemble.
Pót, pl. -en, f., die Pfote, la patte (la main). — Holl. poote; nds. Pote. — Seng Póten iwerall hoin, toucher à tout. Hoil deng Póten do ewèg, ôte tes pattes de là.
Potager, m., der Küchengarten, Gemüsegarten.
Potager (hist.), titre d'un officier de la cuisine-bouche, chargé de la confection des potages.
Poteau, m. (placé sur le bord des chemins, aux croisés des routes pour indiquer le lieu où conduit chaque embranchement), der Wegweiser, der Pfahl (zu einer Jnschrift). — Mittellat. postellum. Mon premier contient mon dernier, Et pour ne pas se fourvoyer, Un voyageur souvent consulte mon entier.
Poteren, part. gepotert, murmeln, unverständlich plaudern, auch Gebete hermurmeln wie ein pater, paternosteren, marmotter. — Nds. piterpatern; Kil. popelen; engl. patter. — Poteren wird auch im gemeinen Leben für plaudern, causer, gebraucht.
Poterer, pl. id., m., le marmotteur.
Potier, m., der Topfmacher, Krugmacher, Töpfer. — Gael. potoir, von pota, poite, das Gefäß, der Topf.[S. 355]
Pôtsâck, pl. -säck, auch Pokes, m., der Sack (in einem Rocke), die Tasche, la poche. — Altfranz. puisette, sachet, poche, besace. — Vergl. engl. poke, pocket.
Potschamp, pl. -en, f., der Nachttopf, das Nachtgeschirr, le pot de chambre. — Engl. chamberpot. — Èlle' Potschamp, häßliche Figur, laide figure. | |