| Postiche, se dit d'un homme qui tient momentanément la place d'un autre, caporal postiche, Stellvertreter eines Corporals.
Postuléren, part. postuléert, ansuchen, anhalten (um ein Amt), postuler. — Lat. postulare.
Pót, pl. -en, f., das Knippschen, Pfötchen, in den niedern Schulen eine Art Strafe, da die Finger der Hand mit den Spitzen zusammengelegt und hingehalten werden müssen um mit einem Stöckchen oder Lineal Schläge darauf zu empfangen, le coup de férule, la férule. — Èng Pót mâchen, die Finger der Hand mit den Spitzen zusammenlegen, faire le cul de poule, joindre le pouce et les doigts de la main ensemble.
Pót, pl. -en, f., die Pfote, la patte (la main). — Holl. poote; nds. Pote. — Seng Póten iwerall hoin, toucher à tout. Hoil deng Póten do ewèg, ôte tes pattes de là.
Potager, m., der Küchengarten, Gemüsegarten.
Potager (hist.), titre d'un officier de la cuisine-bouche, chargé de la confection des potages.
Poteau, m. (placé sur le bord des chemins, aux croisés des routes pour indiquer le lieu où conduit chaque embranchement), der Wegweiser, der Pfahl (zu einer Jnschrift). — Mittellat. postellum. Mon premier contient mon dernier, Et pour ne pas se fourvoyer, Un voyageur souvent consulte mon entier.
Poteren, part. gepotert, murmeln, unverständlich plaudern, auch Gebete hermurmeln wie ein pater, paternosteren, marmotter. — Nds. piterpatern; Kil. popelen; engl. patter. — Poteren wird auch im gemeinen Leben für plaudern, causer, gebraucht.
Poterer, pl. id., m., le marmotteur.
Potier, m., der Topfmacher, Krugmacher, Töpfer. — Gael. potoir, von pota, poite, das Gefäß, der Topf.[S. 355]
Pôtsâck, pl. -säck, auch Pokes, m., der Sack (in einem Rocke), die Tasche, la poche. — Altfranz. puisette, sachet, poche, besace. — Vergl. engl. poke, pocket.
Potschamp, pl. -en, f., der Nachttopf, das Nachtgeschirr, le pot de chambre. — Engl. chamberpot. — Èlle' Potschamp, häßliche Figur, laide figure.
Potschampsdréer, pl. id., m. (ein verächtlicher Ausdruck), der Schwammdrücker, le valet.
Pott, pl. -en, f., die Mundverzerrung, das Maul, la moue, grimace que l'on fait, en rapprochant et en allongeant les lèvres, en signe de mécontentement.
Pötz, pl. -en, m., der Brunnen, le puits; altfranz. puts. — Bei dem Ottfried Puzz; bei dem Notker Buzza; bei dem Willeram Putza. — Lat. puteus; holl. put; ital. pozzo; span. pozo; ahd. puzzi; mittelalt. puitze. — Les puits, prisons de Venise qui sont situées au-dessous du niveau des canaux. — En hoit an de' Gîscher Pötz gekuckt, il a regardé dans le puits de Guirsch, dicton qui signifie: c'est un benêt, ou bien il a un grain de folie.
Pötzen, part. gepötzt, Wasser aus dem Brunnen aufziehen, schöpfen, puiser de l'eau avec un sceau. — Holl. putsen; nds. pütten, in einigen Gegenden pfützen.
Pötznâs, pfütznaß, auch pütschnaß, von dem Laute pütsch, den die nasse Kleidung hören läßt, wenn man mit der Hand darauf klopft.
Pötzkrop, pl. -kröp, m., der Brunnenhacken, le croc de puits.
Potzpudelnakeg, splitternackt, fasennackt, tout nu. — Lat. in puris naturalibus.
Poulain, m., terme populaire par lequel on désigne le bubon inguinal, die venerische Leistenbeule.
Pousséren (sech), se pousser, sich heben, emporschwingen.
Poux (ou pou) de soie, m., grosse étoffe toute de soie, toute unie et sans lustre, qui a un grain pareil au gros de Naples, et un peu moins serré que les gros de Tours, eine Art starkes Seidenzeug.
Praffen, part. geprafft, pfropfen, impfen, enter, greffer. — An 't Holz praffen, in den Spalt pfropfen, enter en fente. — An 't Schiäl praffen, in die Rinde pfropfen, enter en écusson, en écorce. — Jong geprafft Bäm, junge gepropfte Bäume, de jeunes entes.
Praimchen, pl. Praimercher, f., 1° das Pfläumchen, la petite prune; 2° das Priemchen, ein Mundvoll Kautabak, la chique. — Nds. der Prüntzer. S. Schick.
Pralé, pl. -en, f., die in Zucker geröstete Mandel, la praline, amande douce recouverte de sucre légèrement caramélisé. Sorte de dragée faite d'amandes rissolées dans le sucre. On appelle praline cette sorte de bonbon, parce que l'inventeur était un sommelier du maréchal du Plessis-Pralin. Sœur Rosalie, au retour des matines, Plus d'une fois lui porta des pralines. (Vert-vert.) [S. 356]
Pratik, pl. -en, f., 1° die Praris; 2° die Kunde, la pratique. — Holl. pratijk. — Dir krit meng Pratik net, vous n'aurez pas ma pratique. | |