LLU Lexikon der Luxemburger Umgangssprache
 
Tandeldoir bis Terpeteinoileg (Bd. 1, Sp. 445 bis 447)
 
Tandeldoir, pl. -diær, m. (bot.), der Ochsenbruch, die Hauhechel, l'arrête-bœuf, m.
 
Tap (op den) goën, in der gemeinen Sprechart, auf den Strich ausgehen, courir la prétentaine. — Holl. op den tril gaan; engl. to drap, eine gemeine Hure abgeben.
 
Tapét, pl. -en, f., der Teppich, Fußteppich, le tapis. — Lat. tapes; mittelalt. teppet; ital. tappeto; span. tapete. — Les anciens appelaient tapis les étoffes qui avaient des poils d'un côté, et ceux qui en avaient des deux côtés, amphitapis.
 
Tapisserei, pl. -en, f., die Tapete, der Wandteppich, die Wandbekleidung von Papier, la tapisserie. — Celt., mittellat. tapisseria; engl. tapestry.
 
Tapisserei mâchen, faire tapisserie, se dit des personnes qui assistent à un bal ou à quelque autre réunion, sans y prendre part, et qui sont ordinairement rangées contre les murs de la salle.[S. 446]
 
Tapissereisnôl, pl. -næl, m., der Tapetnagel, eine Art kleiner Nagel womit die Tapeten befestigt werden.
 
Tapisséren, tapisser, tapeziren, beteppichen. — Den arme' Leit hir Koimere' se' mat Spawècker tapisséert, les chambres des pauvres gens sont tapissées de toiles d'araignées.
 
Taquinéren, taquiner, avoir l'habitude de contrarier et d'impatienter pour de minces sujets, nörgeln, necken.
 
Târt, pl. -en, f. (torrere), die Torte, la torte. — Holl. taart; engl. tart.
 
Tartufe, m. Nom inventé par Molière et adopté aujourd'hui dans toutes les langues de l'Europe pour signifier les hypocrites, les fripons qui se servent du manteau de la religion, Heuchler, Scheinheiliger, schleichender Böfewicht.
 
Tâs, pl. -en, f., die Tasse, Schale, Trinkschale, besonders zu warmen Getränken, la tasse. — Mittellat. tacea; ital. tazza; span. taza; arab. tâs.
 
Tæt, ja, oui. — Vergl. engl. tat, eine Bejahungspartikel.
 
Täté, pl. -en, m., in der Kindersprache, der Hund, Dä, Dä, le toutou.
 
Tédsch, pl. -en, f., die Matte, eingebogene Stelle in einem Geschirre, das auf einen harten Körper gefallen ist, la bosse.
 
Tédschen, part. getédscht, verbeulen, beulig machen, bossuer.
 
Teimer, pl. -en, m., der Kastenkarren, Kothkarren, le tombereau. — Vergl. celt. tom, Koth, und ber, tragen.

Thespis fut le premier. . . . .
Qui d'acteurs mal ornés chargeant un tombereau,
Amusa les passants d'un spectacle nouveau. (Boil.)

S. Komédé.
 
Teissel, pl. -en, m., die Deichsel, le timon. — Nds. Diessel; holl. dijssel, dussel.
 
Teisselnôl, pl. -næl, m., der Deichselnagel, l'atteloire. Chevilles avec lesquelles on fixe les traits du cheval et leurs accompagnements au timon ou au brancard des voitures. C'est de leur solidité que dépend le succès de l'attelage.
 
Teiten. — E' wees wéder vun teiten nach vu' blosen, er weiß gar nichts, il ne sait rien. — Holl. hij weet van tuiten noch van blazen.
 
Tempi passati! vergangene Zeiten! das ist dahin!
 
Ténsch, pl. -en, f. (lat. tenere), der Damm, eine Erhöhung aus Erde zum Abhalten des Wassers, la digue. — Obd. Tensch, Schleuse bei der Wasserleitung; mittelalt. tensch. Das Wasser, so es findet einen Widerstand von einem Stein oder Tensch und nit fuir mag flieszen, so wirbelt es hinder sich.
 
Tenue, f., der Staat; die Haltung. — En grande tenue, in Paradeanzug.
 
Terme, m., der Termin. — Gr. terma; lat. terminus; engl. term.[S. 447]
 
Termein, m., die Terminei, der Sammelkreis eines Bettelmönchs, der bestimmte Bezirk, l'étendue d'une quête, la quête. — Lat. terminus. — Op den Termei' goën, terminiren, in der Terminei Almosen sammeln, auch betteln überhaupt, quêter, aller à la quête. — Le terminaire ou quêteur d'un couvent, d'un ordre mendiant, devait se renfermer dans les limites assignées à sa communauté. Ce mot, et la délimitation à laquelle il correspond, étaient principalement employés dans les Pays-Bas.
 
Terpetein, m., der Terpentin, la térébenthine.
 
Terpeteinoileg, m., das Terpentinöl, eine flüchtige Substanz.

 

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