| Todé, m., die durch versammeltes Gesindel entstandene Unordnung. — Vergl. taudis, die Polterkammer, appartement où tout est en désordre. S. Zodé.
Tofel, pl. -en, f., 1° (orf.), das Schaukästchen (Kasten mit Gläsern vor dem Laden), la montre, boîte vitrée où l'on expose différents bijoux à la vue des passants; 2° das Bildkästchen, tableau en forme de niche.[S. 450]
Toile, f. (peint.), toile clouée sur un cadre et enduite d'une teinte ordinairement blanche ou grisâtre, sur laquelle on peint, die ausgespannte und grundirte Leinwand.
Toile cirée, f., die Wachsleinwand.
Toile écrue, rohe Leinwand. — Èng Toile écrue's Schib, ein Kittel von roher (ungebleichter) Leinwand.
Toile de cot on, f. (comm.), das Baumwollenzeug, die Kattunleinwand. — Span. tela de coton.
Toilette, f. (comm.), morceau de toile, dont les marchands d'étoffes enveloppent leurs marchandises, et les tailleurs les habits qu'ils vont rendre, der Ueberzug, Sack.
Toiler, Toirel, pl. -en, m., in einigen Gegenden, der Farren, le taureau.
Toise, f., ancienne mesure française de longueur, qui contenait 6 pieds ou mèt. 1,94904, die Klafter. — Lat. tesa, von tesus, étendu.
Toiséren, toiser, messen, von oben bis unten ins Auge fassen. — En hoit mech toiséert vu' Kapp bes zu Féss, il m'a toisé de la tête aux pieds.
Tôl, m., das Eisenblech, das flach, platt, dünn ausgeschmiedete Eisen, la tôle (tela, toile). Feuille de fer métallique d'une épaisseur uniforme, présentant des surfaces parfaitement lisses, obtenue soit au moyen du martinet, soit par le laminage.
Tölteren, part. getöltert, herumzerren, herumstoßen, sabouler, pousser, bousculer. — Holl. teisteren. — Vergl. engl. tilt, ferrailler, joûter.
Tommel, m., der Taumel, le vertige.
Tommes. S. Onglæweg. Il voit, il sent, il touche et ne veut pas se rendre. (Brueys.)
Tomp, pl. Tömp, m., dimin. Tömpchen, pl. Tömpercher, m., der halbe Schlummer, der leichte, kurze Schlummer, le petit somme, le sommeil léger.
Tompen, part. getompt, schlummern, nippen, ein wenig schlafen, dormir d'un léger sommeil.
Topeg, einfältig, dumm, albern, sot, simple, niais. — Mittelalt. tobig, mente captus. — Vergl. tappig, täppisch, tölpisch, taub (leer an dem nöthigen Gehalte, z. B. taube Nüsse, taube Ähren). — Celt. topp, bouchon. Ce mot s'est pris au figuré. De là dupe, stupide, qui a l'esprit bouché. — Ech se' net esó topeg, so dumm bin ich nicht, je ne suis pas si lorgne. — E' gescit topeg eraus, er sieht übel aus, il a mauvaise mine.
Topegkeet, f., die Dummheit, la bêtise. — Mittelalt. tœbigkeit.
Topert, pl. -en, m., der Tapps, Einfaltspinsel, Schöps, le sot.
Topen, part. getopt, tappen, mit der flachen Hand umherfühlen, im Dunkeln um sich hergreifen, tâtonner.
Toque, f., sorte de chapeau à petits bords, couvert de velours, de[S. 451] satin, etc., plat par dessus, et plissé tout autour, die Faltenmütze, der Faltenhut. — Celt. toc, Hut; span. toca, Haube.
Torchon, m., der Wischlappen.
Torsch, pl. -en, f., der Schmaus, das Tractament, le régal, banquet, la régalade, la gogaille.
Torte'pân, pl. -en, f. (cuis.), die Tortenpfanne, la tourtière. — Engl. baking-pan; holl. bakpan.
Tötsch, pl. -en, f., die Torte, la tourte. — Jn den niedrigen Sprecharten wird eine Tunke Titsche, oder Tütsche genannt, von tütschen, tunken. — Vergl. holl. tets, teigig, kleberig, pâteux, gluant.
Tottelen, part. getottelt, stottern, stammeln, dadern, dodern, dottern, bégayer. — Holl. tateren; ital. tartagliáre; span. tartajear; lat. titubare. — Ein kleines, rundes Stückchen Holz mit Oel befeuchtet, unter die Zunge gelegt, soll ein probates Mittel gegen das Stottern sein. | |